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dimanche 26 janvier 2014
Déclaration du PCF pour l'élection municipale de Palaiseau
Front de Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Bièvres Front de Gauche Saclay Front de Gauche Saint-Aubin Front de Gauche Vauhallan Front de Gauche Villiers-le-Bâcle Front de Gauche Villebon-sur-Yvette Front de Gauche Ballainvilliers Front de Gauche Champlan Front de Gauche Saulx-Les-Chartreux Front de Gauche Villejust PCF Palaiseau PCF Igny PCF Bièvres PCF Saclay PCF Saint-Aubin PCF Vauhallan PCF Villiers-le-Bâcle PCF Villebon-sur-Yvette PCF Ballainvilliers PCF Champlan PCF Saulx-Les-Chartreux PCF Villejust
samedi 18 mai 2013
Pass Navigo pour tous au tarif zone 1-2 : c’est possible !
Le PCF Ile de France poursuit la campagne pour un Pass Navigo à zone unique au prix de l’actuelle zone 1-2.
Une proposition de loi des sénateurs et sénatrices communistes sur ce sujet a été débattue au Sénat le 16 mai dernier, afin de proposer d’harmoniser vers le haut le "versement transport" des entreprises (la contribution des employeurs aux frais de transports en commun de tout salarié).
Après notre victoire pour le dézonage du pass les week-ends l’été dernier, nous pouvons gagner cette bataille !Une proposition de loi des sénateurs et sénatrices communistes sur ce sujet a été débattue au Sénat le 16 mai dernier, afin de proposer d’harmoniser vers le haut le "versement transport" des entreprises (la contribution des employeurs aux frais de transports en commun de tout salarié).
dimanche 24 février 2013
Pour l'amélioration du RER B et un financement juste du pass navigo au tarif unique
Une grande mobilisation du Front de Gauche en faveur de l’amélioration du RER B et du financement du Pass navigo au tarif unique
Le Front de Gauche était pleinement mobilisé mardi 19 février au matin afin d’appeler à signer une pétition (http://www.petitions24.net/rer-b) exigeant l’amélioration de la qualité du service public pour la ligne B du RER et le fait que le financement du tarif unique pour le pass navigo ne repose pas uniquement sur les usagers.
Elu-es, adhérent-es des organisations du Front de Gauche, syndicalistes et citoyen-nes, ce sont près de 150 militant-es qui étaient mobilisés entre 7h et 9h dans toutes les gares du RER B pour le sud francilien.
C’était le cas en particulier pour notre territoire avec près de 50 militant-es mobilisés aux gares de Lozère, Palaiseau Villebon, Palaiseau, Massy-Palaiseau et Massy Verrières. Parmi eux, des élu-es du conseil régional d’Ile de France Philippe Camo, secrétaire départemental du PCF, François Delapierre et Pascale Le Neouanic (PG), des élu-es de la ville de Massy Colette Jan, Philippe Judalet (PCF) et Marie Pierre Opprandi (PG), de Palaiseau Joëlle Pinna, Maire-adjointe et d'Igny Pierre Picot 1er Maire-adjoint et délégué à la CAPS ainsi que Françoise Saint-Hilaire Maire-Adjointe (PCF).
Une bataille en cours des parlementaires PCF - Front de Gauche pour un financement plus juste du pass navigo
Cette action du Front de Gauche aux gares du RER B renforce aussi l’initiative d’une proposition de loi portée actuellement par la sénatrice PCF du Val de Marne Laurence Cohen. Son objet est d’harmoniser par le haut le versement transport payé par les entreprises franciliennes afin de financer l’instauration d’un pass navigo unique en Île-de-France et d’amplifier l’offre de transports.
Le Conseil Régional d’Île- de-France et le STIF, tous deux dirigés par Jean-Paul Huchon et une majorité de gauche, avaient déjà acté en décembre 2011 sur proposition des élu-es communistes, non seulement le principe d’une harmonisation du versement transport mais également l’instauration d’un Pass navigo unique au tarif de la zone 1-2 .
Mais pour l’instant une majorité de sénateurs y compris à gauche (PS, PRG et MRC), à l’exception des groupes communiste et écologiste, ont estimé lors d’un premier examen du projet de loi qu’il ne fallait pas, au travers du versement transport, solliciter les entreprises et ce, au nom de la compétitivité. Un tel argument n’est pas acceptable.
Les entreprises doivent mieux participer au financement des transports publics, qui sont un atout pour leur attractivité.
Et ce rejet ouvre la porte à de nouveaux efforts qui vont peser exclusivement sur les usagers et les collectivités alors que nous subissons déjà de plein fouet les effets de la crise.
Les parlementaires communistes et républicains continueront de se mobiliser afin qu’une majorité se constitue en séance publique mercredi 27 février, permettant enfin aux habitants et habitantes d’Île-de-France de bénéficier de l’engagement pris par la gauche régionale rassemblée, sous le slogan, « une Région, une zone ».
lundi 28 janvier 2013
Au Sénat, les sénateurs PCF ouvrent le chemin au pass navigo unique au tarif des zones 1-2
A la demande des sénatrices et des sénateurs et du
groupe CRC, la conférence des présidents réunie hier, a acté la
discussion de la proposition de loi déposée par Laurence Cohen,
sénatrice du Val-de-Marne, visant à l’harmonisation du taux du versement
transport à 2.6%, sur l’ensemble du territoire francilien.
C’est une étape importante qui permettra, si la PPL est adoptée, de dégager les ressources nécessaires, à hauteur de 800 millions d’euros, pour l’instauration d’un pass navigo unique au tarif des zones 1-2 mais également pour le renforcement de l’offre. C’est une proposition portée depuis plusieurs années par les élu-es communistes, du STIF, à la Région, en passant par les maires et les conseillers généraux, qui apportera plus de justice sociale et territoriale.
En effet, alors même que la crise du logement a aggravé les inégalités territoriales, permettre à l’ensemble des Franciliens de se déplacer dans les mêmes conditions tarifaires avec des moyens de transports de qualité, contribue à l’égal accès de tous à la culture, à la formation, aux loisirs, au travail. Lors de la dernière loi de finances, le Parlement a adopté une augmentation du taux du VT mais trop marginale pour permettre de financer ce projet acté par la majorité de gauche à la Région.
Les sénateurs et sénatrices ont ici l’occasion d’adopter une mesure qui ne repose ni sur les collectivités ni sur les usagers et traduit concrètement le droit à la mobilité pour tous.
Le groupe CRC espère donc trouver, cette fois-ci, l’adhésion de l’ensemble des groupes de gauche au sénat, lors de la discussion de cette proposition de loi, qui débutera le 27 février prochain.
C’est une étape importante qui permettra, si la PPL est adoptée, de dégager les ressources nécessaires, à hauteur de 800 millions d’euros, pour l’instauration d’un pass navigo unique au tarif des zones 1-2 mais également pour le renforcement de l’offre. C’est une proposition portée depuis plusieurs années par les élu-es communistes, du STIF, à la Région, en passant par les maires et les conseillers généraux, qui apportera plus de justice sociale et territoriale.
En effet, alors même que la crise du logement a aggravé les inégalités territoriales, permettre à l’ensemble des Franciliens de se déplacer dans les mêmes conditions tarifaires avec des moyens de transports de qualité, contribue à l’égal accès de tous à la culture, à la formation, aux loisirs, au travail. Lors de la dernière loi de finances, le Parlement a adopté une augmentation du taux du VT mais trop marginale pour permettre de financer ce projet acté par la majorité de gauche à la Région.
Les sénateurs et sénatrices ont ici l’occasion d’adopter une mesure qui ne repose ni sur les collectivités ni sur les usagers et traduit concrètement le droit à la mobilité pour tous.
Le groupe CRC espère donc trouver, cette fois-ci, l’adhésion de l’ensemble des groupes de gauche au sénat, lors de la discussion de cette proposition de loi, qui débutera le 27 février prochain.
mercredi 12 décembre 2012
Conseil du STIF : le Front de gauche refuse les hausses tarifaires et se mobilise pour de nouveaux financements
Le Conseil du STIF se réunira jeudi 13 décembre pour décider des
tarifs des transports en commun franciliens applicables à partir du 1er
janvier 2013.
Le projet prévoit une hausse moyenne des tarifs de +2,9%. Les
usagers des zones 1-2, dont les forfaits mensuels augmenteraient de
3,5%, et les jeunes, dont le forfait Imagin’R augmenterait de 3%,
serraient particulièrement pénalisés.
Nous ne pouvons accepter de telles hausses, bien supérieures au niveau de l’inflation.
Le STIF connaît des difficultés réelles pour faire face aux
importants besoins de financement des transports en Île-de-France, pour
la création d’offres nouvelles — le budget 2013 prévoit un renforcement
des réseaux de bus dont nous nous félicitons — ou par la mise en œuvre
de nouvelles mesures de justice tarifaire comme le complément de
parcours.
Les usagers et les collectivités ne peuvent pour autant pas être
les seules variables d’ajustement budgétaire, et ce particulièrement
dans les conditions économiques et sociales actuelles.
Il faut au contraire se mobiliser pour obtenir de nouveaux
financements, comme le portent Laurence Cohen, conseillère régionale
Front de gauche PCF-GU-AC, et Christian Favier, président du Conseil
général du Val-de-Marne, administrateur-rice-s du STIF.
Il faut
notamment mettre à contribution les acteurs économiques, qui sont les
premiers bénéficiaires de l’amélioration des transports, et dont la part
dans le financement des transports en commun n’a cessé de baisser.
Cela passe par le vote par le Parlement de l’harmonisation à la hausse du Versement Transport (VT), alors qu’un premier pas, encore insuffisant, vient d’être fait en augmentant son taux de 0,1.
L’harmonisation du VT est une urgence : cette mesure à elle seule
apporterait les 800 millions d’euros nécessaires à la mise en œuvre du
pass Navigo unique au tarif actuel de la zone 1-2 et au développement de
nouvelles offres.
Au-delà, de nouveaux financements doivent être dégagés pour le Plan
de mobilisation pour les transports et le Grand Paris Express, comme la
modernisation de la taxe locale sur les bureaux (ex-FARIF), la refonte
de la redevance pour la création de bureaux et la création d’une
éco-taxe poids lourds.
Ces mesures sont indispensables pour l’avenir des transports
franciliens et pour les Franciliennes et les Franciliens. Développer et
améliorer les transports en commun est un défi environnemental que nous
devons relever ensemble.
vendredi 16 novembre 2012
Financement des transports publics franciliens : Il faut aller plus loin pour l’amélioration des transports et la zone unique du pass Navigo !
L’Assemblée nationale a adopté aujourd’hui un amendement au
projet de loi de finances 2013 proposant une hausse du Versement
transport (VT), la contribution des entreprises aux transports publics
franciliens.
Cet amendement prévoit une hausse de 0,1 point partout en Île-de-France et devrait représenter un gain d’environ 175 millions d’euros par an pour le Syndicat des transports d’Île-de-France (STIF).
Nous nous réjouissons de cette avancée pour le financement des transports en commun francilien, qui contribuera à la rénovation urgente des réseaux et à la réalisation d’une offre nouvelle indispensable. L’augmentation du versement transport est une exigence que notre groupe porte depuis de nombreuses années, et que nous avons réussi à faire partager par delà les clivages politiques.
Nous regrettons cependant que la majorité de l’Assemblée nationale n’ait pas repris la revendication unanime de la majorité régionale et du STIF d’une harmonisation par le haut du versement transport.
L’amendement adopté aujourd’hui ne permettra pas le financement de la zone unique du pass Navigo attendue avec impatience par les Francilien-ne-s et dont la mise en œuvre était prévue au 1er janvier 2013.
Les parlementaires Front de gauche, au Sénat et à l’Assemblée, avaient eux proposé un taux unique du versement transport (VT), qui rapporterait 700 à 800 millions d’euros au STIF.
C’est pourtant une proposition juste, alors que la part des entreprises dans le financement des transports en commun en Île-de-France n’a cessé de baisser, tandis que celle des usager-e-s et des collectivités ne cesse d’augmenter !
Nous continuerons à nous mobiliser, aux côtés des administrateur-rice-s du STIF et des parlementaires Front de gauche, pour qu’enfin la majorité gouvernementale PS-EELV suive les demandes unanimes de la majorité régionale et permette la mise en œuvre de la zone unique dès l’an prochain !
Cet amendement prévoit une hausse de 0,1 point partout en Île-de-France et devrait représenter un gain d’environ 175 millions d’euros par an pour le Syndicat des transports d’Île-de-France (STIF).
Nous nous réjouissons de cette avancée pour le financement des transports en commun francilien, qui contribuera à la rénovation urgente des réseaux et à la réalisation d’une offre nouvelle indispensable. L’augmentation du versement transport est une exigence que notre groupe porte depuis de nombreuses années, et que nous avons réussi à faire partager par delà les clivages politiques.
Nous regrettons cependant que la majorité de l’Assemblée nationale n’ait pas repris la revendication unanime de la majorité régionale et du STIF d’une harmonisation par le haut du versement transport.
L’amendement adopté aujourd’hui ne permettra pas le financement de la zone unique du pass Navigo attendue avec impatience par les Francilien-ne-s et dont la mise en œuvre était prévue au 1er janvier 2013.
Les parlementaires Front de gauche, au Sénat et à l’Assemblée, avaient eux proposé un taux unique du versement transport (VT), qui rapporterait 700 à 800 millions d’euros au STIF.
C’est pourtant une proposition juste, alors que la part des entreprises dans le financement des transports en commun en Île-de-France n’a cessé de baisser, tandis que celle des usager-e-s et des collectivités ne cesse d’augmenter !
Nous continuerons à nous mobiliser, aux côtés des administrateur-rice-s du STIF et des parlementaires Front de gauche, pour qu’enfin la majorité gouvernementale PS-EELV suive les demandes unanimes de la majorité régionale et permette la mise en œuvre de la zone unique dès l’an prochain !
vendredi 28 septembre 2012
Vœu des élu-es Front de Gauche sur le financement de la zone unique du pass Navigo au tarif de la zone 1-2 adopté !
En décembre 2011, la Région et le STIF ont adopté une réforme de la tarification des transports. Cette réforme ambitieuse — une véritable révolution tarifaire, disions nous alors — prévoit la mise en place de la zone unique du pass Navigo au tarif de la zone 1-2 dès le 1er janvier 2013.
C’est une mesure forte symboliquement tant d’un point de vue de justice sociale que d’égalité territoriale sur laquelle la majorité régionale s’est engagée.
Forte de symbole, parce qu’à travers elle, nous affirmons l’unité de la région : qu’ils habitent à Paris ou dans la Seine et Marne, au terminus du RER D ou dans le cœur de la métropole, les Francilien-ne-s appartiennent à la même région. Une seule région, un seul tarif, une seule zone : c’est l’affirmation du droit de tou-te-s à s’approprier toute la métropole.
Forte de justice sociale et territoriale, puisqu’elle mettra fin à une triple peine qui pèse sur le quotidien de millions de salarié-e-s dans notre région : plus on habite loin du centre, plus on s’épuise dans les transports et plus on paie cher.
Première étape prévue par la réforme, la Région et le STIF ont mis en œuvre depuis le 1er septembre 2013 le dézonage du pass Navigo les week-ends et les jours fériés.
Promesse tenue et promesse comprise. La mesure est d’ores et déjà un succès : dès le troisième week-end de septembre, ce sont 84 000 voyageurs, sur 185 000 au total, qui ont profité de la mesure en se déplaçant hors des zones de leur abonnement.
Il est temps maintenant d’engager ensemble la prochaine étape en mettant fin définitivement au système de zones obsolète et injuste.
La majorité régionale s’est engagée dans le rapport CR 143-11, adopté en décembre 2011 : « Afin que la mise en œuvre du pass unique ne provoque pas une hausse spécifique des tarifs pour les usagers et des concours pour les collectivités, la mise en œuvre pleine et entière de la mesure sera liée à l’abondement de ressources nouvelles. Elle sera donc financée par les ressources additionnelles dont bénéficiera le STIF, notamment celles issues de l’harmonisation du versement transport qui peut être décidé dès 2012. »
Il s’agit d’une mesure juste et efficace que l’ancienne majorité parlementaire a toujours refusée. Le changement de majorité parlementaire est une chance pour qu’enfin prime l’intérêt des usagers et l’exigence de justice sociale et territoriale. C’est une opportunité pour notre région, pour les Francilien-ne-s, dont nous devons nous saisir.
Dès la loi de finances 2013, le gouvernement et les parlementaires peuvent saisir l’opportunité et permettre au STIF d’avoir des ressources additionnelles lui permettant de mettre en place la zone unique au tarif de la zone 1-2. Ce serait là un acte fort, qu’attendent les usagers qui plébiscitent aujourd’hui le dézonage déjà mis en œuvre les week-ends et jours fériés. La majorité régionale doit tout faire pour peser en ce sens. C’est le sens du vœu que nous présentons à l’assemblée régionale.
Le Conseil régional d’Île-de-France :
• demande au gouvernement et aux parlementaires l’inscription dans la loi de finances 2013 de l’harmonisation du taux du versement transport en Île-de-France, condition essentielle de la mise en œuvre d’une zone unique du pass Navigo au tarif de la zone 1-2.
• s’engage à mettre en œuvre, avec le STIF, le pass Navigo unique au tarif de la zone 1-2 dès que le STIF bénéficiera de ces ressources additionnelles.
samedi 7 juillet 2012
Pass Navigo : dès la rentrée, zone unique le week-end et jours fériés
Mercredi 11 juillet, le Conseil du Syndicat des transports d'Île-de-France (STIF) fera un pas de plus vers la zone unique des transports en Île-de-France.
Dès la rentrée, les usagers pourront se déplacer partout en Île-de-France avec leur pass Navigo habituel les week-end et les jours fériés.
D'ici la fin de l'année, les usagers qui dépassent les zones de leur abonnement pourront ne payer que la partie supplémentaire (« complément de parcours ») et non l'ensemble du trajet. Ces premières étapes étaient une revendication des élu-e-s Front de gauche, qu'ils avaient faites adopter en décembre dernier.
Qui doit payer pour cette nouvelle mesure ?
La nouvelle majorité parlementaire doit maintenant aller au bout en décidant l'harmonisation du versement transport (VT), la contribution des entreprises, qui permettra de mettre en place une zone unique des transports en Île-de-France.
Laurence Cohen, administratrice et sénatrice Front de gauche, a déposé une proposition de loi en ce sens. Aucune voix de gauche ne doit manquer pour tenir cet engagement de toute la majorité régionale !
Dès la rentrée, les usagers pourront se déplacer partout en Île-de-France avec leur pass Navigo habituel les week-end et les jours fériés.
D'ici la fin de l'année, les usagers qui dépassent les zones de leur abonnement pourront ne payer que la partie supplémentaire (« complément de parcours ») et non l'ensemble du trajet. Ces premières étapes étaient une revendication des élu-e-s Front de gauche, qu'ils avaient faites adopter en décembre dernier.
Qui doit payer pour cette nouvelle mesure ?
La nouvelle majorité parlementaire doit maintenant aller au bout en décidant l'harmonisation du versement transport (VT), la contribution des entreprises, qui permettra de mettre en place une zone unique des transports en Île-de-France.
Laurence Cohen, administratrice et sénatrice Front de gauche, a déposé une proposition de loi en ce sens. Aucune voix de gauche ne doit manquer pour tenir cet engagement de toute la majorité régionale !
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PCF Palaiseau PCF Igny PCF Bièvres PCF Saclay PCF Saint-Aubin PCF Vauhallan PCF Villiers-le-Bâcle PCF Villebon-sur-Yvette PCF Ballainvilliers PCF Champlan PCF Saulx-Les-Chartreux PCF Villejust
vendredi 13 avril 2012
Adoption du contrat STIF/SNCF : réaction des administrateur/rices Front de gauche du STIF
Un contrat STIF-SNCF pour améliorer la situation dans les RER, sur fond de désengagement continu de l’État
Lors du conseil d’administration du STIF du 11 avril, Laurence Cohen
et Christian Favier, administratrice et administrateur Front de Gauche
ont approuvé le contrat passé entre le STIF et la SNCF pour la période
2012-2015.
Avec 2,3 milliards d’euros d’investissement, soit plus du double que
ceux réalisés sur 2004-2007, avec une plus importante incitation à la
ponctualité, l’amélioration des conditions de transports des Francilien-nes est placée au cœur de ce contrat.
Alors que le réseau des RER ne cesse de se dégrader, du fait d’un
désengagement constant de l’Etat, le STIF prend ses responsabilités en
augmentant sa contribution annuelle versée à la SNCF afin de lui permettre d’assurer ses missions de service public.
Les élu-es du Front de Gauche ont noté que les exigences qu’ils
défendaient étaient bien affirmées dans ce contrat : offre, régularité,
information voyageurs, propreté, présence humaine dans les gares,
amplitude horaire d’ouverture des gares etc. Chaque RER, au regard des
difficultés quotidiennes vécues par les usagers doit bénéficier de cette
amélioration de la qualité de service.
Attentifs aux usagers comme aux salarié-es, Laurence Cohen et
Christian Favier ont souligné avec intérêt que la création de 270 postes
supplémentaires permettra l’indispensable humanisation des gares.
Les deux élu-es ont toutefois réaffirmé que c’était bien à l’État,
actionnaire majoritaire de l’entreprise publique, de donner les moyens à
la SNCF d’accomplir sa mission. Ils ont ainsi vigoureusement dénoncé le fait que l’Etat venait de ponctionner la SNCF de 200 M€ au titre des dividendes 2011, alors que parallèlement, le STIF doit prendre en charge la réforme des retraites et le financement des péages RFF.
Les élu-es Front de Gauche seront attentifs au respect de
l’application de ce contrat et restent mobilisés pour obtenir dans les
prochains mois de nouveaux financements qui ne reposent ni sur
les usagers, ni sur les collectivités. C’est le sens du vœu adopté par
l’ensemble de la majorité qui fait suite aux interventions continues de
Laurence Cohen et Christian Favier au cours des différents conseils
d’administration du STIF.
Front de Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Bièvres Front de Gauche Saclay Front de Gauche Saint-Aubin Front de Gauche Vauhallan Front de Gauche Villiers-le-Bâcle Front de Gauche Villebon-sur-Yvette Front de Gauche Ballainvilliers Front de Gauche Champlan Front de Gauche Saulx-Les-Chartreux Front de Gauche Villejust
PCF Palaiseau PCF Igny PCF Bièvres PCF Saclay PCF Saint-Aubin PCF Vauhallan PCF Villiers-le-Bâcle PCF Villebon-sur-Yvette PCF Ballainvilliers PCF Champlan PCF Saulx-Les-Chartreux PCF Villejust
mercredi 14 mars 2012
Adoption du contrat STIF/RATP : réaction des administrateur/rices Front de gauche du STIF
Un contrat STIF-RATP soumis aux
contraintes de l’absence de nouveaux financements de l’État et de la
mise en concurrence imposée par l’UE
Il faut plus de moyens pour le service public
dans l’intérêt des usagers et des salariés de la RATP !
Lors du Conseil d’administration du STIF, ce mercredi 14 mars,
Laurence Cohen et Christian Favier, administrateur/trice Front de Gauche
du STIF ont refusé de prendre part au vote concernant le contrat
2012-2015 entre le STIF et la RATP.
Les deux administrateurs ont salué
l’augmentation des investissements programmés dans ce contrat, qui
atteignent 6,5 milliards d’euros sur 4 ans. Cette relance des
investissements traduit la volonté du STIF d’améliorer les conditions de
transports des usagers franciliens.
Le STIF contribuera de façon très
importante à ces investissements, puisqu’il s’engage à assumer 100% du
coût des matériels roulants sur les nouvelles infrastructures et 50% du
coût du renouvellement des matériels roulants.
Néanmoins, au-delà de ce point positif,
Christian Favier et Laurence Cohen ont regretté des aspects qui vont
entraîner une dégradation des conditions de travail des salarié-es de la
RATP.
Ce n’est ni un hasard ni un scoop: « l’État
s’est désengagé pendant des années, en n’accordant pas les moyens
financiers nécessaires au bon fonctionnement des transports collectifs
et en exigeant des collectivités et des usagers de payer à sa place. A travers ce contrat, les salarié-es de la RATP sont aussi mis sous pression», souligne Christian Favier.
Pour les deux élu-es communistes, s’il est
normal en tant qu’autorité organisatrice des transports, que le STIF
soit exigeant sur la qualité de service offert aux usagers (régularité,
ponctualité, propreté, sécurité…), il ne faut pas que cette
exigence se fasse au détriment des conditions de travail des 44 000
agents de la RATP, et de la qualité de service offerte aux usagers.
La productivité exigée se traduira en
centaines de suppressions d’emplois chaque année. Comment dans ce
contexte, les salariés de la RATP pourraient-ils garantir une bonne
qualité de service ?
Le STIF et la RATP ont été pris dans l’étau imposé par l’État :
celui-ci se refuse à accorder de nouveaux financements au STIF comme à
la RATP, alors que l’augmentation soutenue de la demande de transports
collectifs impose de dégager de nouvelles ressources. Il ne pouvait y avoir de bon contrat STIF-RATP dans un tel contexte.
D’un côté, le STIF prend à sa charge
une part plus grande des investissements en ayant recours à ses
capacités d’emprunt. Donc il est impératif que des nouvelles ressources
soient dégagées avant que les remboursements arrivent à échéance,
autrement les usagers comme les collectivités seront mis à contribution.
Et du côté des salariés de la RATP,
l’addition est pour tout de suite, en termes de dégradation des
conditions de travail et des centaines de suppressions de postes
programmées chaque année. D’autant que la RATP s’inscrit toujours plus
dans la perspective de la mise en concurrence imposée par l’Union
européenne, avec à terme la menace de sa privatisation.
Comment améliorer le service
public de transports sans un renforcement des effectifs de celles et
ceux qui le font vivre au quotidien ?
Dans un contexte de libéralisation des
transports qui met à mal le service public, où les choix faits par
l’entreprise nationale RATP entraînent la suppression de centaines
d’emplois par an pour faire des économies et investir des marchés
internationaux plus juteux, il aurait fallu des clauses sociales contraignantes
notamment en termes de développement de l’emploi statutaire, de
renforcement des moyens, de respect des acquis sociaux. Ce n’est pas le
cas et les salarié-es vont devoir faire plus avec toujours moins de
moyens, subissant une pression accrue.
« Après des mois de préparation, cette 4ème
génération de contrat était attendue, avec pour la première fois,
l’audition de l’ensemble des organisations syndicales. Cela a donc
ouvert un espoir pour mener de front intérêt des usagers ET intérêt des salarié-es. C’est ce que nous avons porté en tant qu’administrateurs/trice Front de Gauche.
Il faut maintenant nous battre pour
obtenir les nouveaux financements qui nous permettront de modifier ce
contrat, dans l’intérêt de tous, usagers comme salariés. Une victoire
dans les prochaines semaines d’une gauche ambitieuse pour le service
public devra permettre la renégociation de ce contrat. », explique Laurence Cohen.
Front de
Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Bièvres Front de
Gauche Saclay Front de Gauche Saint-Aubin Front de Gauche Vauhallan
Front de Gauche Villiers-le-Bâcle Front de Gauche Villebon-sur-Yvette
Front de Gauche Ballainvilliers Front de Gauche Champlan Front de Gauche
Saulx-Les-Chartreux Front de Gauche Villejust PCF Palaiseau PCF Igny
PCF Bièvres PCF Saclay PCF Saint-Aubin PCF Vauhallan PCF
Villiers-le-Bâcle PCF Villebon-sur-Yvette PCF Ballainvilliers PCF
Champlan PCF Saulx-Les-Chartreux PCF Villejust
mercredi 7 décembre 2011
Tarif unique pour le PASS NAVIGO !
Le Conseil d’administration du Syndicat des transports d’Île-de-France (STIF) a adopté mercredi un protocole qui prévoit une réforme globale de la tarification des transports, dont la mise en œuvre d’une zone unique au tarif de la zone 1-2, financée par une augmentation de la contribution des entreprises, le versement transport.
Ce sont les propositions que porte le Front de gauche depuis plusieurs années qui sont dorénavant soutenues par toute la gauche.
Pour Laurence Cohen, administratrice du STIF : « Alors que les élu-e-s socialistes restaient sceptiques sur la proposition de zone unique jusqu’en 2010, et qu’Europe Écologie-Les Verts proposait une zone unique financée par une hausse des contributions des usagers et des collectivités il y a encore quelques semaines, c’est bien la proposition de justice sociale et territoriale que portait le Front de gauche sur laquelle s’engage aujourd’hui le STIF ». En effet, il n’était pas acceptable, compte tenu des difficultés que vivent les Francilien-nes dans les transports en commun, de faire supporter la zone unique par les usagers.
La gauche doit maintenant aller jusqu’au bout en engageant la mobilisation pour obtenir l’harmonisation du versement transport en Île-de-France, avec un taux unique de 2,6%.
Nous regrettons que les amendements déposés par les sénatrices et sénateurs communistes, républicains et citoyens demandant que le STIF ait la maîtrise des taux du versement transport aient été rejetés non seulement par la majorite presidentielle mais egalement par le PS et Europe Écologie-Les Verts. C’est une occasion manquée de marquer une première étape vers la mise en place de cette zone unique.
Il nous faut donc mobiliser les forces militantes à gauche pour qu’un positionnement cohérent soit adopté au plan national par l’ensemble de la gauche afin de permettre au STIF d’appliquer cette mesure.
Dans la perspective de cette zone unique, nous proposerons lors du débat budgétaire le dézonage le week-end et les jours fériés des pass Navigo dès 2012.
vendredi 18 novembre 2011
Pass Navigo unique au tarif des zones 1-2
Lors de la séance du Conseil régional d’Île-de-France du 17 novembre, le groupe Front de gauche PCF-GU-AC a, dans une question orale, réaffirmé sa proposition d’un pass Navigo unique dans toute la Région, au tarif des zones 1-2.
C’est une mesure élémentaire de justice sociale et territoriale qui n’a que trop tardé. Elle ne saurait être vidée de son contenu en la faisant reposer sur une explosion des contributions des usagers ou des collectivités !
C’est pourquoi nous proposons de mettre davantage à contribution les entreprises, à travers une harmonisation par le haut du versement transports (VT) en Île-de-France, portant son taux à 2,6%.
Cette mesure dégagerait 800 millions d’euros : assez pour mettre en œuvre la zone unique au tarif des zones 1-2 et pour renforcer l’investissement pour l’amélioration de l’offre.
Interpellé par Laurence Cohen, le président Huchon a indiqué que, face aux difficultés économiques et sociales que rencontrent aujourd’hui les Francilien-ne-s et face à l’asphyxie financière des collectivités, la clé résidait en effet dans cette harmonisation du versement transports.
Notre groupe se félicite de cette prise de position nouvelle, qui reconnaît la pertinence de nos propositions. Nous souhaitons qu’elle se traduise, dès les prochaines semaines, par des initiatives communes, avec l’ensemble des élu-e-s de gauche de la Région, des départements, du Sénat et de l’Assemblée nationale, pour obtenir rapidement l’adoption de cette mesure.
Dès novembre, les sénatrices et les sénateurs du groupe Communiste, Républicain et citoyen déposeront un amendement à la loi de finance en ce sens. Nous espérons qu’il y recevra le soutien de toute la majorité de gauche.
Nous sommes persuadés que les Franciliennes et les Franciliens sauront également apporter tout leur appui à la mesure de financement de la zone unique par le versement transport, condition indispensable pour bénéficier de transports publics à la hauteur des besoins.
C’est une mesure élémentaire de justice sociale et territoriale qui n’a que trop tardé. Elle ne saurait être vidée de son contenu en la faisant reposer sur une explosion des contributions des usagers ou des collectivités !
C’est pourquoi nous proposons de mettre davantage à contribution les entreprises, à travers une harmonisation par le haut du versement transports (VT) en Île-de-France, portant son taux à 2,6%.
Cette mesure dégagerait 800 millions d’euros : assez pour mettre en œuvre la zone unique au tarif des zones 1-2 et pour renforcer l’investissement pour l’amélioration de l’offre.
Interpellé par Laurence Cohen, le président Huchon a indiqué que, face aux difficultés économiques et sociales que rencontrent aujourd’hui les Francilien-ne-s et face à l’asphyxie financière des collectivités, la clé résidait en effet dans cette harmonisation du versement transports.
Notre groupe se félicite de cette prise de position nouvelle, qui reconnaît la pertinence de nos propositions. Nous souhaitons qu’elle se traduise, dès les prochaines semaines, par des initiatives communes, avec l’ensemble des élu-e-s de gauche de la Région, des départements, du Sénat et de l’Assemblée nationale, pour obtenir rapidement l’adoption de cette mesure.
Dès novembre, les sénatrices et les sénateurs du groupe Communiste, Républicain et citoyen déposeront un amendement à la loi de finance en ce sens. Nous espérons qu’il y recevra le soutien de toute la majorité de gauche.
Nous sommes persuadés que les Franciliennes et les Franciliens sauront également apporter tout leur appui à la mesure de financement de la zone unique par le versement transport, condition indispensable pour bénéficier de transports publics à la hauteur des besoins.
samedi 25 juin 2011
Au 1er juillet 2011, le Pass Navigo Mensuel zones 1-2 va passer de 60,40 à 62 € pour la zone 1-3, de 78,20 à 80,3€ pour la zone 1-4 et de 95,50 à 98,10€ soit 2,7 % de hausse sur les abonnements.
Cette nouvelle hausse est inacceptable pour les habitants et les salariés de notre territoire ! Elle s’ajoute à la hausse de 6,7 % que le PS et les Verts avaient imposée aux usagers de notre département en 2010.
Entre 2008 et 2011, ce sont plus de 10 euros mensuels supplémentaires que les usagers doivent débourser alors que les RER et métros sont bondés, saturés, en retard.
Faute d’investissement pendant des années, le réseau francilien souffre actuellement de dégradation et de ressources insuffisantes pour assurer son bon fonctionnement.
Ces nouvelles hausses décidées par le STIF (Syndicat des Transports d’ile-de-France) qui gère les transports en Ile-de-France, ne sont pas de nature à régler les problèmes, il faut absolument obtenir de nouveaux financements.
C’est pourquoi, contrairement aux élus PS et Europe Ecologie-les Verts, les élus PCF-Front de Gauche ont voté contre cette augmentation proposée par Jean-Paul Huchon (PS).
mercredi 1 juin 2011
Le Front de gauche refuse les hausses de tarifs dans les transports !
Le Conseil du STIF devrait voter demain une nouvelle hausse de 2,7% des tarifs des transports franciliens.
Laurence Cohen, administratrice du STIF et élu-e du groupe Front de gauche PCF-GU-AC au Conseil régional, votera contre cette nouvelle hausse injuste, largement supérieure à l’inflation et qui s’ajoute à celles des années précédentes : ainsi, entre 2008 et 2011, l’abonnement Navigo zone 1-2 sera passé de 53,50 à 62 € par mois !
Pour Laurence Cohen, « Il n’est pas possible de faire supporter la facture aux usagers ! Alors que les Francilien-ne-s subissent les effets de la crise et des politiques gouvernementales, cela contribuerait à aggraver leurs difficultés. »
Pour les élu-e-s Front de Gauche, il est indispensable de trouver de nouveaux financements, notamment d’obtenir une hausse conséquente de la participation des entreprises via le versement transport. L’UMP fait une nouvelle fois preuve de démagogie en versant des larmes de crocodile sur la situation des Francilien-ne-s : c’est le gouvernement de Mme Pécresse qui refuse de dégager ces financements !
Laurence Cohen, conseillère régionale du groupe Front de gauche PCF-GU-AC, et Christian Favier, président du Conseil général du Val-de-Marne, administrateurs du STIF, ont proposé un vœu demandant que le STIF « réitère son soutien à une augmentation significative des ressources issues du versement transport ». Laurence Cohen ajoute : « A l’heure où des projets d’envergure vont voir le jour, avec l’amélioration des RER, les projets du Plan de mobilisation et le Grand Paris Express, le STIF aura besoin de financements. C’est dès maintenant qu’il faut que les élu-e-s, les syndicalistes et les usagers se mobilisent pour sortir de cette spirale de hausse ! ».
Les élu-e-s du groupe Front de gauche demandent la création d’une zone unique à 60 € pour toutes et tous. L’harmonisation du versement transport à 2,6% permettrait de financer cette mesure de justice sociale et territoriale et de renforcer l’offre de transports.
Laurence Cohen, administratrice du STIF et élu-e du groupe Front de gauche PCF-GU-AC au Conseil régional, votera contre cette nouvelle hausse injuste, largement supérieure à l’inflation et qui s’ajoute à celles des années précédentes : ainsi, entre 2008 et 2011, l’abonnement Navigo zone 1-2 sera passé de 53,50 à 62 € par mois !
Pour Laurence Cohen, « Il n’est pas possible de faire supporter la facture aux usagers ! Alors que les Francilien-ne-s subissent les effets de la crise et des politiques gouvernementales, cela contribuerait à aggraver leurs difficultés. »
Pour les élu-e-s Front de Gauche, il est indispensable de trouver de nouveaux financements, notamment d’obtenir une hausse conséquente de la participation des entreprises via le versement transport. L’UMP fait une nouvelle fois preuve de démagogie en versant des larmes de crocodile sur la situation des Francilien-ne-s : c’est le gouvernement de Mme Pécresse qui refuse de dégager ces financements !
Laurence Cohen, conseillère régionale du groupe Front de gauche PCF-GU-AC, et Christian Favier, président du Conseil général du Val-de-Marne, administrateurs du STIF, ont proposé un vœu demandant que le STIF « réitère son soutien à une augmentation significative des ressources issues du versement transport ». Laurence Cohen ajoute : « A l’heure où des projets d’envergure vont voir le jour, avec l’amélioration des RER, les projets du Plan de mobilisation et le Grand Paris Express, le STIF aura besoin de financements. C’est dès maintenant qu’il faut que les élu-e-s, les syndicalistes et les usagers se mobilisent pour sortir de cette spirale de hausse ! ».
Les élu-e-s du groupe Front de gauche demandent la création d’une zone unique à 60 € pour toutes et tous. L’harmonisation du versement transport à 2,6% permettrait de financer cette mesure de justice sociale et territoriale et de renforcer l’offre de transports.
mardi 26 octobre 2010
Projet de Métro automatique du Grand Paris: retour sur le débat public à Evry
Le projet pour le Grand Paris voulu par Nicolas Sarkozy prévoit la construction d'un métro automatique ("le Grand 8") en Ile de France. Dans ce cadre, une série de débats publics sont organisés en ce moment même par l’Etat à travers la Commission Nationale du Débat Public dans l'ensemble des huits départements de la région parisienne.
Outre la présentation du projet officiel, le site de la CNDP présente les interventions de différents acteurs (collectivités territoriales, SNCF, MEDEF, etc).
Pour le département de l’Essonne, le débat général s’est déroulé à Evry le 21 octobre dernier.
Philippe Camo, conseiller régional et responsable du PCF, présent à ce premier débat est intervenu pour exposer les besoins des usagers et la nécesssité de se pencher enfin sérieusement sur la question du transport public et de son financement, soulignant au passage notre volonté de travailler avec les populations et les élus à un meilleur projet pour les franciliens en organisant l’articulation du «Grand 8» avec le projet «Arc Express», dont l’objectif est de désenclaver les territoires qui sont peu desservis aujourd’hui, sans oublier bien sûr, le territoire essonnien :
dimanche 6 juin 2010
NON aux augmentations des tarifs de transport
Le PCF s'oppose aux augmentations vertigineuses des tarifs de transport proposées par le PS et Europe Ecologie
Lors du Conseil d’administration du STIF qui s'est tenu mercredi dernier, Laurence Cohen, administratrice (PCF) et membre du groupe Front de Gauche (Parti Communiste Français, Gauche Unitaire et Alternative Citoyenne), a voté contre les fortes hausses tarifaires portant sur les forfaits et les titres de transports, applicables au 1er juillet.
Il est impensable de faire peser la crise sur les usagers déjà lourdement pénalisés par les réformes gouvernementales : 3,80 € de plus par mois (près de 50 € par an !), ce n’est pas acceptable.
Les solutions existent : un engagement plus fort des entreprises par la révision du versement transport, le non-versement de la TVA par le STIF, comme dans d’autres régions… Mais il faut pour cela se battre en mobilisant les associations, les syndicats, les élu-e-s afin d’obtenir du Gouvernement qu’il prenne enfin ses responsabilités.
Pour sortir de cette situation, les administrateurs Front de Gauche du Conseil régional et les élus communistes des départements ont déposé un vœu au conseil du STIF, proposant de reporter cette décision, le temps d’organiser une concertation avec tous les acteurs concernés (usagers, salarié-e-s, élu-e-s, représentants du monde économique) pour trouver d’autres pistes de financements.
Ce vœu n’a pas été accepté par une majorité d’élus (PS, Verts-Europe Ecologie) C’est regrettable !
Laurence Cohen, conformément aux engagements de campagne de son groupe (Front de-Gauche, PCF-GU-AC) refuse de s’associer à une décision de résignation, qui pénalise financièrement les usagers.
Laurence Cohen, conformément aux engagements de campagne de son groupe (Front de-Gauche, PCF-GU-AC) refuse de s’associer à une décision de résignation, qui pénalise financièrement les usagers.
Cette politique tarifaire injuste risque d’enfermer le STIF dans une logique consistant à solliciter toujours davantage ces derniers. Elle contredit les engagements pris par les différentes listes de gauche et écologistes aux élections régionales, qui insistaient sur la nécessité d’une politique sociale forte axée sur la réduction des inégalités.
Pour ces raisons, le groupe Front de-Gauche, PCF-GU-AC continuera à s’opposer à toutes hausses tarifaires supérieures à l’inflation. Nous porterons le projet de création d’une zone unique à 56 euros et l’élargissement de la tarification sociale. C’est nécessaire pour un véritable droit à la mobilité pour tous et toutes.
L’heure est à la mobilisation pour obtenir de nouvelles ressources et franchir une nouvelle étape dans le développement et l’amélioration des transports en Ile-de-France.
PCF Palaiseau PCF Igny PCF Saclay
PCF Saulx les Chartreux PCF Villebon Sur Yvette
Front de Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Villebon Sur Yvette
Front de Gauche Saclay Front de Gauche Saulx les Chartreux vendredi 7 mai 2010
Débat sur le Grand Paris à Palaiseau mardi 18 mai
GRAND PARIS: Quels enjeux pour l'Essonne
MARDI 18 MAI à 20H30
Salle des fêtes PALAISEAU - Av. de la République
Salle des fêtes PALAISEAU - Av. de la République
3 tables rondes:
- Démocratie et gouvernance
- Logement, transports et développement durable
- Recherche, formation et emploi
Participant-es:
B. Vera, F. Lamy, J-F Rimbert, M-P Oprandi, P. Camo, P. Chemetov, L. Cohen, M. Roumejon, G. Collin et C. Gimat
PCF Palaiseau PCF Igny PCF Saclay
PCF Saulx les Chartreux PCF Villebon Sur YvetteFront de Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Villebon Sur Yvette
Front de Gauche Saclay Front de Gauche Saulx les Chartreux
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