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vendredi 28 février 2014

Le centre hospitalier Sud Francilien se libère du PPP avec le groupe Eiffage

Enfin, le centre hospitalier Sud Francilien se libère du PPP avec le groupe Eiffage



Un accord a été trouvé pour libérer le centre hospitalier Sud Francilien du partenariat public privé avec une filiale du groupe Eiffage. Cette sortie devrait faire économiser à la sécurité sociale et aux fonds publics entre 600 et 700 M€.

Pour mémoire, sur l'année 2014 ce sont 48 millions d'euros qui seront versés à ce groupe et l'accord se soldera par un versement supplémentaire de 80 millions d'euros. Il faudra que toute la lumière soit faite sur les profits réalisés par ce groupe grâce à cette aventure.

Le PCF a toujours combattu ce type de procédure. En 2012, les parlementaires communistes avaient obtenu une mission d'enquête sur les PPP avec un éclairage particulier sur celui du Sud Francilien. L'histoire nous donne enfin raison.
Il faut que les investissements hospitaliers relèvent de l’État et soient sortis des opérations financières des grands groupes privés.




Parti communiste français,
Paris, le 28 février 2014.

mercredi 23 octobre 2013

Drame à la maternité de Dourdan. L’ARS doit prendre les dispositions nécessaires !

Communiqué de presse 
de François Jousset, Conseiller municipal d'Etampes

Tout d'abord, je veux témoigner de ma grande émotion face au décès d'un nouveau né survenu en juillet dernier à la maternité de l'hôpital de Dourdan. C'est à ses parents, à leurs familles et leurs proches que je veux adresser toutes mes sincères condoléances et mon soutien dans la douloureuse épreuve qu'ils traversent. 

La commission d'enquête diligentée par l'Agence Régionale de Santé devra faire toute la lumière sur les circonstances et les responsabilités à l'origine de ce drame humain. Elle ne peut se limiter à arguer « d'un manque d'organisation des personnels et de dysfonctionnement dans les procédures » ! 

De surcroit, la décision de fermeture, même provisoire, de la maternité de cet établissement ne résout en rien la situation et à l'inverse provoque le désarroi parmi la population et une inquiétude légitime face aux besoins grandissants des usagers de l'hôpital public. Le rapprochement de l'hôpital de Dourdan avec l'hôpital d'Etampes pour former le « Centre Hospitalier Sud Essonne Dourdan-Etampes » a conduit à déshabiller Pierre pour habiller Paul. En effet, vouloir regrouper les services avec pour objectif principal une réduction du personnel ne fait qu'augmenter les risques envers les patients. Cette politique soutenue par Franck Marlin n'est pas celle qui selon moi garantit la qualité et l'accès aux soins pour tous les habitants de notre territoire sud Essonnien. 

Dès 2011, j'intervenais pour alerter sur les conséquences de la mise en oeuvre de la Loi Hôpital-Patients-Santé- Territoire, malheureusement poursuivie encore à ce jour par l'ARS. J'écrivais, « A l' opposé des besoins sanitaires, sociaux et économiques des populations, N. Sarkozy et son gouvernement, figés sur le dogme de la réduction du déficit public dictée par l'Europe libérale, marchandise la santé. Roselyne Bachelot organise la fermeture de 240 hôpitaux publics, le démantèlement de l'AP-HP et la pénurie de personnels soignants, de praticiens aptes à garantir la sécurité sanitaire des patients. ». Je soulignais également : « Ce vaste plan de restructuration hospitalier, déjà engagé par les pouvoirs publics, touche tous les établissements de l'Essonne et leurs personnels. En témoigne, la fusion des hôpitaux de Dourdan et d'Etampes... » C'est tout le maillage sanitaire Essonnien qui est démantelé comme nous en déplorons le triste constat encore aujourd'hui. 

Cette situation préoccupante n'a pas été prise en compte dans la réflexion menée sur l'offre de soins et son accessibilité. Dans cet environnement qui génère un climat social dégradé, les établissements de santé font face à une forte problématique touchant les ressources humaines, liée autant aux contraintes tenant à la pénibilité du travail qu'aux difficultés à assumer correctement les missions. 

Ainsi, sous prétexte de réorganisation visant l'efficience, la qualité des soins et la sécurité des patients, c'est à la désorganisation de l'hôpital public qu'a conduit la mise en oeuvre de la loi HPST, la réduction des dépenses affectant directement l'emploi hospitalier et entraînant au final une aggravation des conditions de travail des personnels et de prise en charge de la population. 

Il est impératif désormais de revenir sur les termes de cette Loi, sur le rôle des ARS et élaborer avec les citoyens ,les personnels et praticiens de l'hôpital public, les organisations syndicales, politiques et de défense de la santé une carte sanitaire essonnienne et régionale pourvue des moyens humains et financiers aptes à répondre aux besoins de soins préventifs et curatifs de plus d'un million d'essonniennes et d'essonniens. 

Un tel drame humain et sanitaire ne doit jamais se reproduire.

vendredi 24 mai 2013

Lundi 3 juin 2012 à Morsang/Orge : Préparation des assises nationales pour une autre politique en France et en Europe

Le 5 mai dernier, le Front de Gauche appelait à une grande marche citoyenne à Paris contre l’austérité, la finance et pour la 6ème République. Cette manifestation a montré la large mobilisation du Peuple de gauche.

Cette démarche va se poursuivre en France et en Europe avec d’autres forces afin de pouvoir stopper les politiques d'austérité et construire un modèle de développement répondant aux enjeux du 21e siècle, aux besoins humains plutôt qu'à ceux des banques. 

C'est dans ce cadre que Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, a fait la proposition de tenir le 16 juin prochain des « assises nationales pour une refondation sociale et démocratique ». Au-delà de l'intitulé, il s'agit de créer les conditions d'un débat, ouvert à toutes les forces politiques, comme à la diversité du mouvement social, pour dégager les contours d'une nouvelle donne à gauche. 

Une étape départementale est prévue en Essonne lundi 3 juin prochain à partir de 19h salle Pablo Neruda à Morsang sur Orge.


Front de Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Bièvres Front de Gauche Saclay Front de Gauche Saint-Aubin Front de Gauche Vauhallan Front de Gauche Villiers-le-Bâcle Front de Gauche Villebon-sur-Yvette Front de Gauche Ballainvilliers Front de Gauche Champlan Front de Gauche Saulx-Les-Chartreux Front de Gauche Villejust PCF Palaiseau PCF Igny PCF Bièvres PCF Saclay PCF Saint-Aubin PCF Vauhallan PCF Villiers-le-Bâcle PCF Villebon-sur-Yvette PCF Ballainvilliers PCF Champlan PCF Saulx-Les-Chartreux PCF Villejust

lundi 8 avril 2013

Réunion publique du Front de Gauche à Palaiseau mardi 23 avril à 20h30


Avec Didier Le Reste
Responsable du Front des luttes
Dirigeant national du PCF

File:Didier Le Reste Front de Gauche 2009-03-08 n1.jpg

      



Face à une crise morale et politique majeure, au système de l’argent roi, le Front de gauche a des alternatives. Prenez le pouvoir !
ENSEMBLE, FAISONS GRANDIR L’EXIGENCE D’UNE AUTRE POLITIQUE
Mardi 23 avril 2013 à Palaiseau
salle des fêtes avenue de la République
avec Didier Le Reste, animateur du Front des luttes et dirigeant du PCF

Front de Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Bièvres Front de Gauche Saclay Front de Gauche Saint-Aubin Front de Gauche Vauhallan Front de Gauche Villiers-le-Bâcle Front de Gauche Villebon-sur-Yvette Front de Gauche Ballainvilliers Front de Gauche Champlan Front de Gauche Saulx-Les-Chartreux Front de Gauche Villejust PCF Palaiseau PCF Igny PCF Bièvres PCF Saclay PCF Saint-Aubin PCF Vauhallan PCF Villiers-le-Bâcle PCF Villebon-sur-Yvette PCF Ballainvilliers PCF Champlan PCF Saulx-Les-Chartreux PCF Villejust

dimanche 3 février 2013

Réunion publique à Igny sur les alternatives à l'austérité


Réunion publique à Igny vendredi 15 février 2013
L'austérité aggrave la crise et les souffrances
Peut-on faire autrement ?
Il est urgent de mener des politiques alternatives, exigeons un changement de cap à gauche !
Front de Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Bièvres Front de Gauche Saclay Front de Gauche Saint-Aubin Front de Gauche Vauhallan Front de Gauche Villiers-le-Bâcle Front de Gauche Villebon-sur-Yvette Front de Gauche Ballainvilliers Front de Gauche Champlan Front de Gauche Saulx-Les-Chartreux Front de Gauche Villejust PCF Palaiseau PCF Igny PCF Bièvres PCF Saclay PCF Saint-Aubin PCF Vauhallan PCF Villiers-le-Bâcle PCF Villebon-sur-Yvette PCF Ballainvilliers PCF Champlan PCF Saulx-Les-Chartreux PCF Villejust

dimanche 4 mars 2012

Les sénateurs socialistes laissent ratifier le MES de Sarkozy et Merkel

Mauvaise journée pour la gauche : F. Hollande est retourné en Angleterre pour rassurer de nouveau la City. Selon lui, il faut se contenter de réguler la finance et non la combattre.
Visiblement F. Hollande n’a toujours pas compris la nature de la crise du capitalisme et propose donc, faute de s’attaquer à la domination de la finance, des cataplasmes sur une jambe de bois en guise de remède.
Au Parlement, ce n’est pas mieux : les parlementaires socialistes sauvent la mise à Sarkozy . En s’abstenant, les socialistes, qui ont pourtant la majorité au Sénat, ont laissé le champ libre à la droite et à Sarkozy qui ont pu ratifier en paix leur Mécanisme Européen de Stabilité.
A quoi sert une majorité de gauche si c’est pour laisser le champ libre à la droite ?
Les communistes et élus Front de gauche ont voté contre.
Seuls Jean-Pierre Chevènement (RDSE) et deux sénateurs socialistes (dont M.N. Lienemann) se sont prononcés contre ce mécanisme inventé par la Merkozy. C’est encore pire qu’à l’Assemblée Nationale, où une quinzaine de députés avaient pris position contre. Les socialistes ont clairement laissé le pouvoir à la droite, qui a pu valider les deux textes, celui autorisant la création du MES et celui qui en précise les détails.


Le Mécanisme Européen de Stabilité remplacera le FESF, certainement à partir de juillet, et se voit doté d’une capacité d’action de 500 milliards d’euros.
Pour l’utiliser, il faudra que les pays se plient au nouveau traité Merkel-Sarkozy, c’est-à-dire qu’ils acceptent la Règle d’or et l’austérité imposée. Les sénateurs socialistes ont ignoré les appels de la gauche et des Verts.

Comme celui de Michelle Demessine (PCF) :
"A nos yeux, le grand danger de ce traité que le chef de l’Etat signera au nom de la France, est d’être un nouvel instrument antidémocratique pour imposer, sous couvert de discipline budgétaire, la loi des marchés financiers aux Etats et aux peuples d’Europe. Ce traité, concocté entre la Chancelière et le Président de la République, aggrave encore les quelques dispositions sur la gouvernance économique et le semblant de solidarité européenne, contenues dans son prédécesseur de 2005. Le peuple français l’avait rejeté par référendum, le Chef de l’Etat le lui avait alors imposé par la voie parlementaire. Aujourd’hui nous refuserons le nouveau scénario qui s’annonce. C’est dès maintenant que nous dénonçons le danger d’une signature du Chef de l’Etat. Nous refusons ce traité car il est profondément antidémocratique et contraire à l’intérêt national puisqu’il s’agit de limiter la souveraineté budgétaire des Etats et de leur dicter leurs politiques économique et sociale. De surcroît c’est de lui que procèdent tous les plans d’austérité qui sont imposés aux pays en difficulté en échange de financements pour tenter de payer leurs dettes."