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dimanche 2 novembre 2014

Réforme territoriale : lettre des élu-es PCF CAPS et Europ'Essonne



réforme territoriale caps europ'essonne fusion des communautés d'agglomération


Front de Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Bièvres Front de Gauche Saclay Front de Gauche Saint-Aubin Front de Gauche Vauhallan Front de Gauche Villiers-le-Bâcle Front de Gauche Villebon-sur-Yvette Front de Gauche Ballainvilliers Front de Gauche Champlan Front de Gauche Saulx-Les-Chartreux Front de Gauche Villejust PCF Palaiseau PCF Igny PCF Bièvres PCF Saclay PCF Saint-Aubin PCF Vauhallan PCF Villiers-le-Bâcle PCF Villebon-sur-Yvette PCF Ballainvilliers PCF Champlan PCF Saulx-Les-Chartreux PCF Villejust




lundi 5 mai 2014

Européennes 2014 : Patrick Le Hyaric tête de liste du Front de Gauche pour la circonscription Ile de France



République Française élections européennes du 25 mai 2014 circonscription d'Ile de France
Front de Gauche Essonne Patrick Le Hyaric Front de Gauche Essonne
République Française élections européennes du 25 mai 2014 circonscription d'Ile de France
Front de Gauche Palaiseau Front de Gauche Igny Front de Gauche Bièvres Front de Gauche Saclay Front de Gauche Saint-Aubin Front de Gauche Vauhallan Front de Gauche Villiers-le-Bâcle Front de Gauche Villebon-sur-Yvette Front de Gauche Ballainvilliers Front de Gauche Champlan Front de Gauche Saulx-Les-Chartreux Front de Gauche Villejust PCF Palaiseau PCF Igny PCF Bièvres PCF Saclay PCF Saint-Aubin PCF Vauhallan PCF Villiers-le-Bâcle PCF Villebon-sur-Yvette PCF Ballainvilliers PCF Champlan PCF Saulx-Les-Chartreux PCF Villejust 



samedi 18 mai 2013

Pass Navigo pour tous au tarif zone 1-2 : c’est possible !

Le PCF Ile de France poursuit la campagne pour un Pass Navigo à zone unique au prix de l’actuelle zone 1-2.

Une proposition de loi des sénateurs et sénatrices communistes sur ce sujet a été débattue au Sénat le 16 mai dernier, afin de proposer d’harmoniser vers le haut le "versement transport" des entreprises (la contribution des employeurs aux frais de transports en commun de tout salarié).
Après notre victoire pour le dézonage du pass les week-ends l’été dernier, nous pouvons gagner cette bataille !



dimanche 24 février 2013

Pour l'amélioration du RER B et un financement juste du pass navigo au tarif unique

Une grande mobilisation du Front de Gauche en faveur de l’amélioration du RER B et du financement du Pass navigo au tarif unique 

 Le Front de Gauche était pleinement mobilisé mardi 19 février au matin afin d’appeler à signer une pétition (http://www.petitions24.net/rer-b) exigeant l’amélioration de la qualité du service public pour la ligne B du RER et le fait que le financement du tarif unique pour le pass navigo ne repose pas uniquement sur les usagers.

Elu-es, adhérent-es des organisations du Front de Gauche, syndicalistes et citoyen-nes, ce sont près de 150 militant-es qui étaient mobilisés entre 7h et 9h dans toutes les gares du RER B pour le sud francilien. C’était le cas en particulier pour notre territoire avec près de 50 militant-es mobilisés aux gares de Lozère, Palaiseau Villebon, Palaiseau, Massy-Palaiseau et Massy Verrières. Parmi eux, des élu-es du conseil régional d’Ile de France Philippe Camo, secrétaire départemental du PCF, François Delapierre et Pascale Le Neouanic (PG), des élu-es de la ville de Massy Colette Jan, Philippe Judalet (PCF) et Marie Pierre Opprandi (PG), de Palaiseau Joëlle Pinna, Maire-adjointe et d'Igny Pierre Picot 1er Maire-adjoint et délégué à la CAPS ainsi que Françoise Saint-Hilaire Maire-Adjointe (PCF).

Une bataille en cours des parlementaires PCF - Front de Gauche pour un financement plus juste du pass navigo

Cette action du Front de Gauche aux gares du RER B renforce aussi l’initiative d’une proposition de loi portée actuellement par la sénatrice PCF du Val de Marne Laurence Cohen. Son objet est d’harmoniser par le haut le versement transport payé par les entreprises franciliennes afin de financer l’instauration d’un pass navigo unique en Île-de-France et d’amplifier l’offre de transports.

Le Conseil Régional d’Île- de-France et le STIF, tous deux dirigés par Jean-Paul Huchon et une majorité de gauche, avaient déjà acté en décembre 2011 sur proposition des élu-es communistes, non seulement le principe d’une harmonisation du versement transport mais également l’instauration d’un Pass navigo unique au tarif de la zone 1-2 .

Mais pour l’instant une majorité de sénateurs y compris à gauche (PS, PRG et MRC), à l’exception des groupes communiste et écologiste, ont estimé lors d’un premier examen du projet de loi qu’il ne fallait pas, au travers du versement transport, solliciter les entreprises et ce, au nom de la compétitivité. Un tel argument n’est pas acceptable. Les entreprises doivent mieux participer au financement des transports publics, qui sont un atout pour leur attractivité. Et ce rejet ouvre la porte à de nouveaux efforts qui vont peser exclusivement sur les usagers et les collectivités alors que nous subissons déjà de plein fouet les effets de la crise.

Les parlementaires communistes et républicains continueront de se mobiliser afin qu’une majorité se constitue en séance publique mercredi 27 février, permettant enfin aux habitants et habitantes d’Île-de-France de bénéficier de l’engagement pris par la gauche régionale rassemblée, sous le slogan, « une Région, une zone ».

lundi 28 janvier 2013

Au Sénat, les sénateurs PCF ouvrent le chemin au pass navigo unique au tarif des zones 1-2

A la demande des sénatrices et des sénateurs et du groupe CRC, la conférence des présidents réunie hier, a acté la discussion de la proposition de loi déposée par Laurence Cohen, sénatrice du Val-de-Marne, visant à l’harmonisation du taux du versement transport à 2.6%, sur l’ensemble du territoire francilien.

C’est une étape importante qui permettra, si la PPL est adoptée, de dégager les ressources nécessaires, à hauteur de 800 millions d’euros, pour l’instauration d’un pass navigo unique au tarif des zones 1-2 mais également pour le renforcement de l’offre. C’est une proposition portée depuis plusieurs années par les élu-es communistes, du STIF, à la Région, en passant par les maires et les conseillers généraux, qui apportera plus de justice sociale et territoriale.

En effet, alors même que la crise du logement a aggravé les inégalités territoriales, permettre à l’ensemble des Franciliens de se déplacer dans les mêmes conditions tarifaires avec des moyens de transports de qualité, contribue à l’égal accès de tous à la culture, à la formation, aux loisirs, au travail. Lors de la dernière loi de finances, le Parlement a adopté une augmentation du taux du VT mais trop marginale pour permettre de financer ce projet acté par la majorité de gauche à la Région.

Les sénateurs et sénatrices ont ici l’occasion d’adopter une mesure qui ne repose ni sur les collectivités ni sur les usagers et traduit concrètement le droit à la mobilité pour tous.
Le groupe CRC espère donc trouver, cette fois-ci, l’adhésion de l’ensemble des groupes de gauche au sénat, lors de la discussion de cette proposition de loi, qui débutera le 27 février prochain.

mercredi 19 décembre 2012

Budget 2013 : la Région Île-de-France demande à l’État des ressources nouvelles au service des Francilien-ne-s

Lors de la séance du Conseil régional d’Île-de-France consacrée au budget 2013, les élu-e-s du Front de gauche ont fait adopter une adresse forte affirmant sa volonté de ressources supplémentaires au service des Franciliennes et des Franciliens. 

Dans cette adresse, la majorité régionale affirme notamment sa volonté d’une « progression des dotations de l’État ». Ce n’est que justice, alors que l’État a transféré à la Région des compétences sans réelle compensation, créant ainsi une dette envers les Franciliennes et les Franciliens de 1,4 milliards d’euros depuis 2006. Une dette dont la majorité régionale demande à nouveau la compensation. Justice encore, quand la Région demande une réforme de la fiscalité locale pour garantir l’autonomie fiscale et des ressources pérennes et dynamiques pour les collectivités. 

Pour les élu-e-s du Front de gauche, il n’y a pas de démocratie locale sans moyens pour les collectivités ! 

Justice enfin, quand la Région refuse catégoriquement la hausse de la TVA sur les transports publics, sur le logement social et la rénovation des logements : des priorités pour la Région et pour un nouveau mode de développement.

Ces ressources sont indispensables, non pas pour l’institution régionale, mais pour les Franciliennes et les Franciliens. Indispensables notamment pour l’amélioration de l’offre de transports publics et la zone unique du pass Navigo : le Front de gauche propose d’y affecter de nouvelles recettes assises sur l’activité économique, car les entreprises sont les premières bénéficiaires de l’amélioration des transports. Pour les élu-e-s du Front de gauche, c’est un acte politique fort de la majorité régionale : un acte utile à toute la gauche. Par cet acte, la majorité exprime avec force sa vision et ses propositions pour une évolution nécessaire des choix nationaux. Si un tel acte était repris par l’ensemble des assemblées régionales et des collectivités locales, ce serait un point d’appui majeur pour obtenir du gouvernement un changement véritable pour les collectivités locales.

 Les élu-e-s du Front de gauche se sont donc abstenus sur le volet recettes du budget 2013 pour exprimer tout à la fois leur refus de la contrainte financière imposée aux collectivités locales, et notamment du gel des dotations de l’État, et leur soutien à l’engagement affirmé de la Région en faveur de ressources nouvelles.

mercredi 12 décembre 2012

Conseil du STIF : le Front de gauche refuse les hausses tarifaires et se mobilise pour de nouveaux financements

Le Conseil du STIF se réunira jeudi 13 décembre pour décider des tarifs des transports en commun franciliens applicables à partir du 1er janvier 2013.

Le projet prévoit une hausse moyenne des tarifs de +2,9%. Les usagers des zones 1-2, dont les forfaits mensuels augmenteraient de 3,5%, et les jeunes, dont le forfait Imagin’R augmenterait de 3%, serraient particulièrement pénalisés.

Nous ne pouvons accepter de telles hausses, bien supérieures au niveau de l’inflation.
Le STIF connaît des difficultés réelles pour faire face aux importants besoins de financement des transports en Île-de-France, pour la création d’offres nouvelles — le budget 2013 prévoit un renforcement des réseaux de bus dont nous nous félicitons — ou par la mise en œuvre de nouvelles mesures de justice tarifaire comme le complément de parcours.

Les usagers et les collectivités ne peuvent pour autant pas être les seules variables d’ajustement budgétaire, et ce particulièrement dans les conditions économiques et sociales actuelles.
Il faut au contraire se mobiliser pour obtenir de nouveaux financements, comme le portent Laurence Cohen, conseillère régionale Front de gauche PCF-GU-AC, et Christian Favier, président du Conseil général du Val-de-Marne, administrateur-rice-s du STIF

Il faut notamment mettre à contribution les acteurs économiques, qui sont les premiers bénéficiaires de l’amélioration des transports, et dont la part dans le financement des transports en commun n’a cessé de baisser.
Cela passe par le vote par le Parlement de l’harmonisation à la hausse du Versement Transport (VT), alors qu’un premier pas, encore insuffisant, vient d’être fait en augmentant son taux de 0,1.
L’harmonisation du VT est une urgence : cette mesure à elle seule apporterait les 800 millions d’euros nécessaires à la mise en œuvre du pass Navigo unique au tarif actuel de la zone 1-2 et au développement de nouvelles offres.

Au-delà, de nouveaux financements doivent être dégagés pour le Plan de mobilisation pour les transports et le Grand Paris Express, comme la modernisation de la taxe locale sur les bureaux (ex-FARIF), la refonte de la redevance pour la création de bureaux et la création d’une éco-taxe poids lourds.
Ces mesures sont indispensables pour l’avenir des transports franciliens et pour les Franciliennes et les Franciliens. Développer et améliorer les transports en commun est un défi environnemental que nous devons relever ensemble.

mardi 2 octobre 2012

Suppression du financement de l’État au Grand Paris Express : les transports publics ne doivent pas être sacrifiés !

Nous apprenons la décision du gouvernement de ne pas inscrire dans la loi de programmation des finances publiques 2012-2017 la première tranche de la dotation de la Société du Grand Paris, qui devait s’élever à un milliard d’euros.

Cette décision est pour nous inacceptable. Elle menace la réalisation du Grand Paris Express, le métro en rocade qui a pourtant fait l’objet d’un accord entre l’État, la Région et les Conseils généraux, mais aussi du Plan de mobilisation pour les transports dont le financement par l’État avait fait l’objet d’une longue bataille.

En réduisant les recettes de la SGP à ses seules ressources fiscales, c’est le lancement des études pour la réalisation des deux arcs à l’Est, et notamment de celui desservant Clichy-Montfermeil, Sevran ou La Courneuve qui serait compromis.

Cela met aussi à mal la proposition portée par la Région d’une mutualisation des moyens de la SGP et du STIF, qui aurait permis d’accélérer la mise en œuvre du Plan de mobilisation, qui prévoit des prolongements de lignes, la création de tramways et la rénovation des RER notamment.
Nous ne pouvons accepter de voir ces projets de transports indispensables à notre région et à ses habitant-e-s reportés aux calendes grecques, voire abandonnés. Ce choix irait contre les besoins des usager-e-s et serait à rebours des engagements de la France pour répondre au défi climatique.

Au-delà, la multiplication des annonces d’abandon ou de report de grands investissements — Grand Paris Express, lignes à grande vitesse, Canal Seine-Nord-Europe… — est extrêmement inquiétante.  

En sabrant ainsi l’investissement public au nom de la rigueur, on prend le risque d’aggraver la situation de l’emploi, d’enfoncer le pays dans une récession durable, et de creuser au contraire davantage les déficits publics.

Nous demandons que, conformément aux engagements pris, tout soit mis en œuvre pour donner aux Francilien-ne-s un réseau de transports moderne.  

Groupe Front de gauche PCF-GU-AC - Région Île-de-France

samedi 14 avril 2012

Jeudi 19 avril – Meeting du Front de Gauche avec Jean-Luc Mélenchon

Meeting du Front de Gauche à Paris


Jean-Luc Mélenchon 
Jeudi 19 avril à 19h

Porte de Versailles
Parc des Expositions - Hall 1 
(accès voir ci-dessous)


Accès Parc des Expositions - Porte de Versailles

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mardi 13 mars 2012

Hold up du groupe DIA sur les salariés !

Le groupe espagnol DIA (scission ED CARREFOUR/DIA) vient de réaliser une amélioration de ses bénéfices de 150 % pour l’année 2011.
Aujourd’hui, malgré cela, la direction du groupe annonce qu’elle ne versera aucune participation à ses salariés pour 2012 qui font la richesse de l’entreprise.
A l’inverse ce groupe vient de verser à ses actionnaires leur dû et ceux-ci spéculent sur le dos des travailleurs de la plateforme DIA basée sur le site du Plessis Pâté qui compte 160 personnes et des autres sites en Ile de France.
Les salariés, avec leur syndicat CGT, sont en lutte. Ils exigent de pouvoir toucher leur participation qui représente un mois de salaire net, et l’arrêt de cette régression sociale menée par la direction du groupe. Ils posent aussi la question de l’amélioration de leurs conditions de travail.
Les actionnaires se sucrent, et les salariés paient la note ! C’est intolérable et indécent au moment où dans notre pays, les conséquences de la crise, de la politique du gouvernement font des ravages, accroissent les difficultés des travailleurs. Ce n’est pas aux salariés de payer la crise mais aux actionnaires !
La Fédération de l’Essonne du PCF, les élus communistes, soutiennent et appellent à la solidarité pour les salariés grévistes. Philippe CAMO, secrétaire départemental du PCF, Conseiller régional est venu le dire aux personnels en lutte et partage leurs revendications.
« Nous sommes pleinement en accord avec les exigences, les revendications des salariés en lutte au moment où tant de besoins se font sentir, qui appellent une hausse des salaires et du pouvoir d’achat. La direction doit payer ce qu’elle leur doit ! »

Communiqué de presse de la fédération PCF de l'Essonne
Le 13 mars 2012