A la demande des sénatrices et des sénateurs et du
groupe CRC, la conférence des présidents réunie hier, a acté la
discussion de la proposition de loi déposée par Laurence Cohen,
sénatrice du Val-de-Marne, visant à l’harmonisation du taux du versement
transport à 2.6%, sur l’ensemble du territoire francilien.
C’est une étape importante qui permettra, si la PPL est adoptée, de dégager les ressources nécessaires, à hauteur de 800 millions d’euros, pour l’instauration d’un pass navigo unique au tarif des zones 1-2 mais également pour le renforcement de l’offre. C’est une proposition portée depuis plusieurs années par les élu-es communistes, du STIF, à la Région, en passant par les maires et les conseillers généraux, qui apportera plus de justice sociale et territoriale.
En effet, alors même que la crise du logement a aggravé les inégalités territoriales, permettre à l’ensemble des Franciliens de se déplacer dans les mêmes conditions tarifaires avec des moyens de transports de qualité, contribue à l’égal accès de tous à la culture, à la formation, aux loisirs, au travail. Lors de la dernière loi de finances, le Parlement a adopté une augmentation du taux du VT mais trop marginale pour permettre de financer ce projet acté par la majorité de gauche à la Région.
Les sénateurs et sénatrices ont ici l’occasion d’adopter une mesure qui ne repose ni sur les collectivités ni sur les usagers et traduit concrètement le droit à la mobilité pour tous.
Le groupe CRC espère donc trouver, cette fois-ci, l’adhésion de l’ensemble des groupes de gauche au sénat, lors de la discussion de cette proposition de loi, qui débutera le 27 février prochain.
C’est une étape importante qui permettra, si la PPL est adoptée, de dégager les ressources nécessaires, à hauteur de 800 millions d’euros, pour l’instauration d’un pass navigo unique au tarif des zones 1-2 mais également pour le renforcement de l’offre. C’est une proposition portée depuis plusieurs années par les élu-es communistes, du STIF, à la Région, en passant par les maires et les conseillers généraux, qui apportera plus de justice sociale et territoriale.
En effet, alors même que la crise du logement a aggravé les inégalités territoriales, permettre à l’ensemble des Franciliens de se déplacer dans les mêmes conditions tarifaires avec des moyens de transports de qualité, contribue à l’égal accès de tous à la culture, à la formation, aux loisirs, au travail. Lors de la dernière loi de finances, le Parlement a adopté une augmentation du taux du VT mais trop marginale pour permettre de financer ce projet acté par la majorité de gauche à la Région.
Les sénateurs et sénatrices ont ici l’occasion d’adopter une mesure qui ne repose ni sur les collectivités ni sur les usagers et traduit concrètement le droit à la mobilité pour tous.
Le groupe CRC espère donc trouver, cette fois-ci, l’adhésion de l’ensemble des groupes de gauche au sénat, lors de la discussion de cette proposition de loi, qui débutera le 27 février prochain.