GAGNONS UN BEL AVENIR POUR NOS RETRAITES
LA RETRAITE C’EST 60 ANS
RENCONTRE-DÉBAT
Jeudi 24 juin 2010 à 20 h 30
à Saulx Les Chartreux
salle Boris Vian - Face à la mairie
Jeudi 24 juin 2010 à 20 h 30
à Saulx Les Chartreux
salle Boris Vian - Face à la mairie
Casser les retraites pour mieux relancer la finance: C’est le sens de la réforme présentée aux Français par le gouvernement et le MEDEF.
La droite n'a jamais accepté réellement que les gains de producvité et les lues qui construisent du temps libre à consacrer à soi et aux autres.
Elle n'a eu de cesse de détricoter le système de retraite par répartition et aujourd'hui elle aimerait y porter un nouveau coup.
Les Français commencent à se rendre compte de la gravité du projet :
il ne se réduit pas à une controverse sur les chiffres mais révèle bien un enjeu de civilisation.
La retraite est un droit que le peuple a gagné et qu'il paye par son travail. Pour le défendre, il nous faut une gauche à la hauteur.
Aux côtés des organisations syndicales unies, elle doit construire une véritable alternative qui ne cède en rien aux sirènes libérales. Nous sommes déterminés à y contribuer.
NOUS PROPOSONS
- La retraite est un droit auquel nous sommes attachés. Les années gagnées en espérance de vie doivent permettre d’augmenter le temps de la retraite.
- Un départ à 60 ans à taux plein (75% du salaire de référence) pour tous et toutes avec la prise en compte de la pénibilité, négociée avec les organisations syndicales, de professions particulières donnant droit à des départs anticipés.
- La retraite est un droit auquel nous sommes attachés. Les années gagnées en espérance de vie doivent permettre d’augmenter le temps de la retraite.
- Un départ à 60 ans à taux plein (75% du salaire de référence) pour tous et toutes avec la prise en compte de la pénibilité, négociée avec les organisations syndicales, de professions particulières donnant droit à des départs anticipés.
- Un système basé sur les cotisations salariés et employeurs
- Un régime de retraite par répartition avec une indexation des pensions sur les salaires et non les prix.
- Nous voulons abroger les réformes Balladur et Fillon et le retour aux dix années de références pour le secteur privé.
- Un régime complémentaire actuel à consolider et à pérenniser dans le cadre de négociations avec les organisations syndicales.
- Les dispositions spécifiques pour les femmes doivent être maintenues et améliorées par la négociation.
- La prise en compte des années d’études et de formation dans le calcule de la retraite.
- Nous voulons abroger les réformes Balladur et Fillon et le retour aux dix années de références pour le secteur privé.
- Un régime complémentaire actuel à consolider et à pérenniser dans le cadre de négociations avec les organisations syndicales.
- Les dispositions spécifiques pour les femmes doivent être maintenues et améliorées par la négociation.
- La prise en compte des années d’études et de formation dans le calcule de la retraite.
C’EST POSSIBLE AVEC UNE AUTRE POLITIQUE ET UN AUTRE PARTAGE DES RICHESSES
Depuis 30 ans, les salariés français ont augmenté leur productivité et la richesse produite par notre pays considérablement. Captés aujourd’hui par la finance aux profits des actionnaires et des fonds spéculatifs, il faut les réorienter avec principalement :
- Mise en place de cotisation au même taux que pour les salaires sur les revenus financiers des entreprises ainsi que sur les dividendes et autres systèmes d’intéressement pour la protection sociale dont les retraites. Cela rapporterait 22 milliards pour les retraites
- Supprimer les 30 milliards d’exonération de cotisations sociales dont bénéficie le patronat. Ces cadeaux n’ont créé, ni sauvé aucun emploi, pire ils ont permis aux entreprises de financer leurs délocalisations.
- Une grande politique de recherche et d’industrie et de planification écologique, mobilisant autrement le crédit bancaire pour l’emploi, la formation et les salaires, pour solidifier les caisses de protection sociale et de retraite 100 000 emplois, ce sont 2 milliards de cotisations sociales de plus.
- Une réforme du financement passant par une refonte des cotisations avec la modulation de leur calcul pour pénaliser les entreprises qui réduisent l’emploi et les salaires
- Une grande politique de recherche et d’industrie et de planification écologique, mobilisant autrement le crédit bancaire pour l’emploi, la formation et les salaires, pour solidifier les caisses de protection sociale et de retraite 100 000 emplois, ce sont 2 milliards de cotisations sociales de plus.
- Une réforme du financement passant par une refonte des cotisations avec la modulation de leur calcul pour pénaliser les entreprises qui réduisent l’emploi et les salaires